• Les Insoumis

    les insoumisDemain est un autre monde, Tome 1

    d’Émilie Witwicki-Barbet

    Illustrations : Cécile Guillot

    Val Sombre Éditions

     

    Présentation de l'éditeur

    1953.

    Vampire justicier et solitaire, Joseph vit selon ses propres règles : pas d’innocents, pas de disciples.

    Mais Margot va le faire changer d’avis. Enceinte, laissée pour morte, il la sauvera à sa manière.

     

    2009.

    Adam est de retour dans la maison où il a passé sa courte enfance. Ni humain, ni vampire, il peine à trouver sa place dans la société. Sa rencontre avec Lou, la fille aux chiens, va lui permettre de découvrir l’amitié.

    Mais le lien fragile qui les unit sera vite entamé par le départ d’Adam, orchestré par Rodolphe Dubuissert, vampire puissant qui régit la région sous le titre d’Ordonnateur, après le renversement des puissances.

    Car le monde a basculé. Le pétrole, l’électricité et le progrès n’ont plus cours dans cet Ordre Nouveau que les vampires ont instauré.

    Les humains ont-ils conscience de la vraie nature des nouveaux envahisseurs ?

    Comment faire face à la fois à cette menace et aux dangers d’une vie sans technologie, dont plus personne n’a l’habitude?

    Le reste du monde est-il semblable à ce coin de l’Avesnois, annexé de toutes parts et égorgé dans tous les sens du terme?

    Face à tous ces changements, Lou parviendra-t-elle à tenir la barre et à sauver ce à quoi elle tient ?

     

      

    lien: val sombre éditions


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  • Menace sur nos neurones de Marie Grosman et Roger Lenglet chez Actes Sud (questions de société)

    neurones.jpgAlzheimer, parkinson, sclérose en plaques, autisme… Pourquoi le nombre de personnes atteintes d’une maladie neurodégénérative explose-t-il, et pour quelles raisons les malades sont-ils de plus en plus jeunes ? Ce livre révèle que ces maladies se préparent déjà dans le ventre des mères, devenues malgré elles des « mamans neurotoxiques ». Ensuite, tout au long de la vie, nos neurones sont exposés à un cocktail d’agressions capable de diminuer irréversiblement les fonctions de notre cerveau. Ces substances parfaitement identifiées et documentées par les scientifiques, pourraient être bannies de notre environnement si une véritable politique de prévention était menée.

    Au moment où ce type de maladie a été déclaré “cause nationale” en France, l’enquête événement  de Marie Grosman et Roger Lenglet accuse : malgré les connaissances scientifiques la prévention est gravement négligée.

    Etudes et investigations rigoureuses à l’appui, les auteurs démontent le mécanisme d’un “effet d’aubaine” ignoble en faveur de l’industrie pharmaceutique et proposent des solutions face à cette crise sanitaire.


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  •  merville 

     

    au retour de la foire à la médiathèque de Merville, dans nos sacs il y avait des fruits et légumes mais aussi quelques livres....

     

     pour les plus grands...

    faut-il-manger-les-animaux-  jonathan.jpg   la-centrale-1  la-centrale-2.jpg

     cliquez pour agrandir....

     

    panthere-1.jpg  panthere-2.jpg  salmo-doublaxel-1.jpg  salmo-doublaxel-2.jpg

     

     et pour les plus petits...

    quand on aura mangé la planète  les-animaux-dans-le-pré 

     

     

     


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  • G-mende-oyo-.jpg  G-mende-oyo-2.jpg

    cliquez pour...

     

    Présentation de l’éditeur

    G.Mende-Oyoo (1952-)

    Né dans une famille nomade du conté de Dariganga dans la province de Sukhbaatar, Mend-Oyoo est une figure emblématique de la poésie mongole contemporaine.

    Ses différentes casquettes de docteur en littérature, poète, écrivain, calligraphe, éditeur et professeur à l’Académie des Sciences en font une personnalité complète et complexe.

    Si la poésie constitue le cœur de son œuvre, il s’est adonné avec succès à l’écriture de livre pour enfants comme à des travaux de recherche sur le patrimoine littéraire mongol. Il est aussi parolier et actif dans le film documentaire.

    Mend-Oyoo a été récompensé de nombreux prix en Mongolie bien sûr mais aussi aux USA, au Royaume-Uni, au Japon et en Corée.

    Son œuvre-poésie et prose- est en cours de publication en Anglais par Simon-Wickham Smith.

     

    disponible à la médiathèque..

     

    Illumination infinie  

    J’aime me réjouir quand, à l’aube, blatère un jeune chameau blanc et bavard.

    J’aime briller quand, au milieu des nuages, surgit l’éclat éphémère de la lune.

    J’aime m’embraser, quand naît un enfant tardif, dans la rougeur du vent d’automne.

    J’aime frissonner en écoutant des strophes harmonieuses de Maître Yavuukhulan.

    J’aime m’enflammer en écoutant les douces mélodies d’une cithare ou d’un violon.

    J’aime me lever quand le soleil se lève derrière ma steppe bleu-anémone.

    J’aime galoper tel un drapeau au vent, ma cravache en cotonéaster à la main.

    J’aime escalader les pics couverts de neige en regardant y bondir les chamois.

    J’aime me servir de bois d’argousier et de santal pour produire des mélodies suaves.

    J’aime envisager de distinguer l’étoffe indienne du brocart.

    J’aime allumer des étoiles dans la douceur du ciel nocturne.

    J’aime m’enflammer à mon sommet en l’escaladant pas à pas.

    J’aime chanter sur les cordes de la cithare du Saint Yanjinglhama.

    J’aime m’illuminer à l’infini dans le Temple de Cristal de la Poésie.

     

    Contemplant la nature des collines  

    Les collines dérangées par des pensées profondes

    Restent langoureuses au milieu d’un léger brouillard,

    Peut-être nostalgiques des jours passés.

    Parfois elles gémissent avec de longs, longs vents.

     

    Comme des larmes qui coulent des instants de légère tristesse

    Des perles bleues, bleues de rosée scintillent sur chaque feuille.

    Déversant leur peine et bannissant le brouillard,

    Les collines me considèrent dans leur sage repos.

     

    Au moindre balancement de la cime des arbres

    Les larmes du ciel coulent des branches trempées.

    Comme de petits diamants lacent l’air avec l’humidité,

    Les couleurs sont ravivées par le pinceau doré du soleil.

     

    Les fils de la pluie entrelacés des rayons du soleil

    Forment d’habiles mailles sur les robes émeraude.

    Ces ornements éclatants de fleurs dans les ourlets

    Renforcent la majestueuse beauté des collines.

     

    En affectant des oiseaux de quatre-vingts langues à chaque branche,

    Les collines dirigent un forum musical des emplumés.

    Chaque ton majestueux est en accord avec les autres,

    Chaque pierre et chaque brin d’herbe sont parts de la toile parfaite.

     

    Ecoutant la voix adorable de mon cher fils,

    Les collines l’enregistrent dans la profondeur de leurs roches grenat.

    Avec pour cordes les chants sonores des oiseaux

    La lyre grandiose de Khangai chante la joie des collines.

     

    Contemplant une seule feuille jaune fanée,

    Qui pourrait raconter une histoire vieille de tant et tant d’années,

    Qui s’efforcerait de comprendre les pensées profondes des collines

    A un instant de ce monde ancien.

     

    Dans la foule bleu-vert des herbes bien connues,

    Une fleur toute fraîche est née !

    N’est-ce pas une œuvre d’art longtemps murie par les collines

    Qui aujourd’hui a trouvé sa forme pour jaillir à la vie ?

     

     Poèmes traduits de l’anglais par Imre P. Zsoldos

     

     


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  • la Médiathèque Départementale du Nord nous a prêtée un grand nombre de livres et  de recueils de poésie (sélection préparée par F.X....)

    DSCN5113.jpg

    soyez curieux.... Venez  "fouiller" dans le rayon poésie de la médiathèque.....

     

     


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  • siam.jpg

    SIAM

     

    L’Amour à Trois

     

    Loz Production

     

    J’ai reçu « L’amour à Trois » de Siam il y a quelques jours. Connaissant un peu Bruno Leroux et partageant avec lui une certaine idée de la musique, j’avais beaucoup d’espoirs sur ce duo qu’il partage avec Fanny Labiau  et quelques craintes du résultat final il faut bien le dire. L’espoir d’entendre concrétiser sur disque des maquettes impeccables et la crainte d’effacer par une production grandiloquente la rugosité de ses chansons. Je peux donc affirmer que si « L’amour à Trois » se cherche un partenaire de baise : je veux bien servir de cobaye, n’ayant pas eu l’envie depuis longtemps de m’extasier sur un bon album ou de baisser mon slip pour écrire du bien sur quelqu’un.

     

    Celui-ci d'album est fait de chairs et c'est quand même très agréable de s'enfouir dans ce corps là. On pause les pièces d’un jeu de drame qui s’enhardit au fur et à mesure que les 13 titres défilent. " la Fiancée du Gangster " impose cet étrange ballet vocal entre un homme et une femme que n’aurait pas renié un autre couple fatal chantant les déboires de Bonnie and Clyde. Frappant de mélodies tour à tour réalistes ou pop, Bruno et Fanny mettent l’amour au centre des ébats comme par exemple sur « Coûte que Coûte » ou « Mercure » là ou le bandonéon aggravé de rythmes « tango lissant » échappe à une catégorie socio musicale. Si Marc Dorsel devait se trouver une BO pour s’entendre sur la pénétration c’est vers « Aïe » qu’il irait chercher. Dans « Vive la France» et « Le Club des Caniches » l’étude de mœurs de notre société accroche les esprits vers un libéralisme sensuel et une accroche rock n’roll plutôt string que petit bateau. L’abandon gainsbourien de la fin du disque prouve encore qu’il y a de belles choses à dire et à faire pour renouveler les chansons dites réalistes sans tomber dans un pathos de variété complaisante.

    S’il existe un Mozart assassiné en chacun de nous et que ce Mozart est en définitive la passion amoureuse qui s’essouffle pour se détruire, Siam ressuscite ce sentiment pour un temps et me redonne le goût d’entendre de la musique de qualité.

     

    Pierre DERENSY

      

    On peut les retrouver là... http://www.myspace.com/siammusik

     

     


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  • ça y est ....il est là....

    Enquête sur la disparition d'Emilie Brunet d'Antoine Bello chez Gallimard

     

    antoine bello

     

    Présentation de l'éditeur

    Le détective Achille Dunot souffre d’une étrange forme d’amnésie. Depuis un récent accident, sa mémoire ne forme plus de nouveaux souvenirs, si bien qu’il se réveille chaque matin en ayant tout oublié des événements de la veille.

    Quand le chef de la police lui demande d’enquêter sur la disparition d’Émilie Brunet, une des femmes les plus riches du pays, Achille décide de tenir un journal dans lequel il consignera le soir, avant d’aller se coucher, les enseignements de la journée. Lui qui ne jure que par Agatha Christie devient ainsi à son insu le héros et le lecteur d’un drôle de roman policier... dont il est aussi l’auteur.

    Très vite, tout accuse Claude Brunet, le mari de la disparue. Il a plusieurs mobiles et aucun alibi. Il se vante à demi-mot d’avoir commis le crime parfait. Mais surtout, il ose critiquer les méthodes d’Hercule Poirot...

    Antoine Bello est né en 1970 à Boston. Il vit et travaille à New York. Il a déjà publié aux Éditions Gallimard un recueil de nouvelles, Les funambules (collection blanche, 1996) et trois romans, Éloge de la pièce manquante (La Noire, 1998, Folio n° 4769), Les falsificateurs (collection blanche, 2007, Folio n°4727) et Les éclaireurs, prix France Culture Télérama (collection blanche, 2009).

    l'ex moucheron

     


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