• Sélection Cd (Février 2011)

     


    Holly Golightly - Painted on

    myspace: http://www.myspace.com/hollygolightlymusic

       

    holly-golightly-Painted-On.jpg

    Holly Golightly, une femme, un itinéraire, et surtout 20 ans de fidélité au style qu’elle a choisi.

    La musique, c’est une sorte de marché aux puces. On fouine un peu, on retrouve des vieux trucs du passé et on les transpose à notre époque. Un principe que cette dame connaît mieux que quiconque. Elle a su attendre son heure. Depuis des années, Holly Golightly est une artiste très confidentielle. Et pourtant, elle a déjà 13 albums à son actif. Sa musique a un parfum d’années 60. Ses mentors s’appellent Jesse Mae Robinson ou Willie Dixon, deux noms qui rappellent le temps où la musique se faisait encore sans instruments électriques. ( lire la suite sur arte.tv)

     

     


    Imbert Imbert - Débat de boue myspace: http://www.myspace.com/imbertimbert

     

    imbert-imbert.jpg Un homme, une contrebasse et des chansons qui débarquent d'un instrument à corde, d'un stylo qui s'était endormi et c'est la 'renaissance' d'un artiste nommé Imbert Imbert. On appelle ça de la 'chanson contrebasse solo'. Et ça tourne très bien ! A fleur de mots, tendres ou cinglants, il promène son archet sur les pages d'une poésie fragile et belle... qu'on se le dise ! ( lire la suite sur evene.fr

     

     

      ( Je conseille surtout l'écoute d'  "un goût de crasse" voir sur le myspace d'imbert imbert )


    Marissa Nadler- Litte Hells
     
    Marissa_Nadler_-_Little_Hells.jpg
    Ecouter une chanson de Marissa Nadler, c’est accepter une invitation au voyage, accepter de se laisser perdre dans un ailleurs insituable, quelque part entre le Providence de H.P. Lovecraft, le fauteuil au coin du feu où, enfant, votre grand-mère vous contait des histoires, le Londres inquiétant de Jack l’Eventreur et le souvenir de votre plus beau pique-nique estival. Comment en effet expliquer que, malgré la joliesse rassurante des arpèges de guitare et la limpidité des mélodies, semble ressortir des trois albums de Marissa Nadler une impression de deuil, comme si ces chansons étaient l’émanation d’un fantôme errant, la bande-son d’un roman gothique anglais ? Marissa Nadler n’abuse pourtant pas des oripeaux du genre : très peu d’orgues funèbres, pas de croassements cachés dans le mix. Ses chansons, parfois construites autour des apports instrumentaux de Nick Castro ou de Greg Weeks mais le plus souvent dépouillées, sont en apparence empreintes d’une sensibilité folk légère, presque champêtre.( lire la suite sur blogotheque.net

     


    Laurent
    « Comment cuisiner un cochonLe bonheur ? »

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