L'église Notre Dame des 7 douleurs

 

Dès 1850 les habitants du hameau de la Croix du Bac conçurent le projet de bâtir une église malgré l’opposition du curé de Steenwerck,de la municipalité et des commerçants du bourg.  

Le terrain fut offert par la famille Chieux -Lotté.  

Tous donnèrent, les uns de l’argent, les autres leur travail, les matériaux, ou les moyens de transport. François -Louis Cardon quêtait partout pour l’église.  

Sans architecte, les murs construits par les habitants, c’est Van Acker entrepreneur à Merville qui fit la charpente.  

L’église construite, les paroissiens connurent alors toutes les difficultés pour obtenir un curé. Ayant menacé de faire venir un pasteur protestant, ils en obtinrent un par Mgr Duquesnay, Archevêque de Cambrai, surpris par la grandeur de l’édifice et la ténacité des habitants.  
le 26 janvier 1870 arriva le premier curé, l'Abbé Leleu.
(Source le reliquaire des ferveurs populaires: S.I de Steenwerck) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

(L’école privée et le presbytère auraient également été construits par les habitants ? -Paul Cousin)

 

 

Les origines de la paroisse de Notre Dame des 7 Douleurs publié dans le bulletin paroissial "Echo de la Croix du Bac" de janvier 1936  

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

     

     "Arguties ecclésiastiques"  historiettes en miettes Voix du Nord du samedi 26 janvier 1991

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

   

"Elle fut érigée en succursale le 12 novembre 1872 par Adolphe Thiers, président de la République"

(Jean-Louis Decherf)

 

 

 

 

 

la guerre 14 / 18 

 " Le 15 octobre 1914, l'église fut réduite en cendre par les allemands, elle aurait pu servir de repaire à l'artillerie alliée. Les soldats du Kaiser, trouvèrent dans l'appentis de l'épicerie exploitée par M. Pecqueur, tout le pétrole dont ils pouvaient avoir besoin.  Ils en aspergèrent les murs du sanctuaire et y mirent le feu."

source: écho de la Croix du Bac

  

 La reconstruction de l'église

 

L'église actuelle est la première du diocèse de Lille à avoir été réédifiée après la grande guerre. Elle fut, en effet, bénite le 29 janvier 1922 par Mgr Quilliet, évêque de Lille.

Source : Jean Louis Decherf

 

 

 

 

L'église fut reconstruite sur les mêmes fondations et rouverte au culte vers 1924

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La cloche de l'église

Angèle Henriette est mon nom, 1000 livres est mon poids.

Je remplace mes soeurs disparues lors de l'incendie de l'église par les allemands, le 15 octobre 1914.

Baptisée en l'an 1922 sous le pontificat de Benoît XV heureusement régnant,par Hector Raphaël Quillet,évêque de Lille, ayant pour archidiacre des Flandres Charles Jourdin vicaire général, l'Abbé Floris Brouillard pasteur de la Croix du bac, Henri Charlet, Emile Cardon, Augustin barbry, Marcel Barbry conseillers paroissiaux

J'ai pour parrain Henri Charlet et pour marraine Madame Emile Barbry née Angèle barbry.

Je chante les louanges de Dieu et de la Benigne Dame des Sept Douleurs.

Je pleure les disparus.

Ma voix est celle de la prière des paroissiens de la Croix du Bac, n'y soyez pas sourds.

 

  à suivre.....

Quelques personnes ont osé pousser la chansonnette.....et c'est là que l'on s'aperçoit que ce n'est plus vraiment dans nos moeurs.. fini le temps où l'on se mettait à chanter pour tout et rien.....  

 

    

accompagnés par Alain à l'accordéon et Philippe à la guitare ...ça va beaucoup mieux... 

 

 

 

 

    

 

                                                   

 Laurent n'a pas chanté...il a filmé....

 

Bilan de la journée : à refaire...

  

dans le temps.... François Béranger / hommage à sa grand-mère...

 

                                 

 

Monsieur Jarry de Shinto Ohtake chez Passage Piétons Editions

 « Monsieur Jarry a une touffe de poils au bout du nez et passe son temps, tout son temps, à regarder la mer.[…] »

Monsieur Jarry est un bonhomme tout bleu qui part en voyage avec un crocodile rose. Leur promenade sera riche de rencontres extraordinaires, « cornegidouille » !

Barthélémy : « j’ai bien aimé toute l’histoire et puis les dessins ! »

 

C’est comment ?

Il faut :

-          Bien s’asseoir sur ses fesses

-          Ouvrir toutes grandes ses oreilles

-          Garder les yeux bien ouverts (on peut aussi les fermer parfois…)

-          Et la bouche à peine fermée…

-          …et…c’est parti  pour découvrir ensemble :

  

Ce livre-là ¹ […]  « pour les petits, pour partager, pour s’instruire, pour rigoler, […], pour chanter…

Pour chanter dis-tu ? Meunier, tu dors ? As-tu vu le furet courir et le petit escargot sourire ?...Chouette ! Des chansonnettes d’il y a longtemps « re-colorée » avec les photos, montages et autres dessins de Antonin Louchard ²!

Nous sommes  toujours tous là ?! « Tous pareils ?! »…D’accord, peut-être, mais bon, quand même pas tout à fait…Si ? Les caribous tout ronds, tout mignons d’Edouard Manceau³ nous démontrent dans un petit univers orange et vert que nous ne sommes pas si différents les uns que les autres…Un livre à partager ! Bonne découverte !

Camille

    

   Ce livre-là de Malika Doray aux éditions MeMo

 

 

 

²Savez-vous planter les choux ? de Antonin Louchard chez Bayard Jeunesse  

 

 

 

    ³Tous pareils ! Petites pensées de sagesse caribou de Edouard Manceau chez Milan Jeunesse

 

 

Atelier libre.... on continue les "nanas"  

 

 On s'active.... on s'active.... on peut remarquer que le bonnet  est  de la même couleur que les nanas..... 

   

 

premiers résultats.....  Tout doit être prêt et installé pour dimanche  .....

  voir ICI 

 

dimanche 28 novembre

de 10h30 à 17h...

Une porte ouverte organisée dans le cadre "d'ici et d'ailleurs" , animation proposée par la commission culture de la commune ..

le thème "les voix"

venez pousser la chansonnette ...... et partager un moment de convivialité à la médiathèque

buvette sur place

et le midi "auberge espagnole"........

 

 

 

 

 coup de coeur... trouvé dans les bacs de la médiathèque

Karin clercq "femme X"

  

           

  " la vie buissonnière" 

 et pour en savoir plus sur Karin clercq  ICI